Dérivé de la coccinelle, cette magnifique Karmann Ghia est Matching Number dans un État exceptionnel !
Carrosserie 10/10 elle a reçu uniquement un voile de peinture pour lui redonner son éclat et sa brillance.
Vitrage et plancher d’origine sans aucun départ de rouille.
Carte grise française, 1 er propriétaire Etats unis -Oregon-
Aucune marque d’usure ou rayure extérieur.
Aucune soudure réalisée sur la caisse.
L’Intérieur du véhicule est totalement dans son jus.
Véhicule non fumeur.

Double des clefs disponible.
Dossier et rapport d’expertise complet.
Dernière révision il y a 1 mois réalisé par le propriétaire.
Parcours toutes distances sans aucun problème.
Cerise sur le gâteau, ce véhicule a été primé.

UN PEU D’HISTOIRE:
Le millésime 1967 va donc voir la Karmann-Ghia subir le plus grand nombre d’évolutions de son histoire, à l’image de celles réalisées également sur la Coccinelle. Les millésimes suivants apporteront aussi des améliorations, mais structurellement moins importantes.
Avec le millésime 1967, disponible à compter d’août 1966, l’équipement électrique passe de 6 en 12V. La sécurité passive et la fiabilité du circuit se voient significativement améliorées.
Au chapitre de la motorisation, bien que l’arrivée du 1300 au précédent millésime ait amélioré la situation, le moteur prend lui aussi du coffre en 1967: la cylindrée passe à 1493 cm3 avec l’adoption de nouveaux pistons/cylindres de 83 mm de diamètre (le vilebrequin de 69mm de course reste le même que sur le 1285 cm3 spécifique au millésime ’66). Résultat, la puissance passe à 44 CV DIN (soit une augmentation de 30% par rapport au 1200 de 1965 !) et la voiture atteint dorénavant 132 km/h chrono. En deux ans, la Karmann-Ghia a gagné 10 km/h alors qu’elle avait mis dix ans auparavant pour franchir la même étape ! Si ce n’est pas de la révolution, comment qualifier l’évènement ?
Le guidage du train avant ayant déjà été revu en 1966 avec l’adoption du système à rotules en remplacement des archaïques pivots, c’est le freinage qui voit sa puissance augmenter avec le montage de disques à l’avant, le tout amélioré par le doublage du circuit de freinage. L’arrivée des freins à disques sonne le glas du perçage à 5 trous et les nouvelles roues ajourées (pour le refroidissement des disques) se contentent donc de 4 trous…
La différence de comportement est vraiment sensible et l’on entre dans l’ère où la Karmann- Ghia propose enfin un bon compromis, avec des performances plus en rapport avec les ambitions de sa ligne !
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